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Ho bloody
Jessie Okley
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Jessie Okley
Jeu 25 Juil 2024 - 23:21
Tenebrescence


Ton avancée vers Andy est présomptueuse. Tu réflechis à ce que tu peux bien lui dire sans qu'elle n'agisse en diva mal baisée. Peut-être est-ce mieux de juste lui faire croire... de lui offrir les miettes d'un intérêt à jamais factice.
Le discours de l'un des hommes les plus puissants de Montreal, que tu aurais pensé jadis n'être qu'un de tes nombreux pions sur l'echiquier de ton propre rêve, attire à tous votre attention, et tes pas louvoient vers une autre destination, peut-être pourquoi pas vers ... ce très cher Caesar que tu vois au loin.
Mais ta curiosité te pousse à analyser autour de toi chaque personne présente et la silhouette de ton psychologue attire ton attention plus que de mesure.
Tu sens le poids du regard d'Andy sur toi qui te dévores des yeux avec l'intention de te tuer -une forme délicieuse de déni pour dissimuler sa frustration- jusqu'à sentir les fragrances d'un papillon de nuit, plein de grâce et de délicatesse te ramener à quelque chose de plus savoureux.

Elle s'est montrée plus rapide et astucieuse que toi pour ce coup. Et elle t'a attrapé.
.. quel goût peut avoir son sang... ?
Ton esprit se lèche les pourtours de ton appétit vorace.
Ton regard accroche alors le sien et tu lui fais pleinement face sans chercher à l'impressionner. En vérité... tu as ce petit sourire en coin qui témoigne de l'amusement suscité par vos divers jeux de regards.
Vous n'avez fait que ça... vous calculer, aux abords de sorties, de rues, d'endroits suspects. Pareilles à deux pontes qui se dardent d'un intérêt grandissant et qui se surveillent.

Et l'idée alors que ce cher blondinet se retrouve invité t'amuse davantage.
Elle connait trop de monde ici pour que tout paraisse anodin. Et tu es certain d'avoir été un jour épié.
.. Comme tu l'as fait de ton côté.
Tu n'as pas appris grand chose pour autant alors l'idée de cet évènement est une aubaine.

- Madame Beladonne.

Tu ne la flattes pas. Elles attendent toute ça, surtout dans ce milieu ; et tu veux la sevrer de sa dose journalière de compliments mornes.

- Vous connaissez ce cher Castelli ?

La réthorique est si peu innocente.
Tu attends donc sa réponse en cherchant le zippo qui se trouve dans ta poche avant. Mais avant de jouir d'un retour on ne peut plus intéressant, l'ombre... ennuyeuse et insidieuse d'Andy se glisse non loin de la Beladonne, pour lui murmurer à l'oreille de cette dernière, d'une voix pernicieuse :

- Vous n'en tirerez rien de bon de lui, ma dame, c'est un très mauvais coup.

Le fait est qu'elle ait non pas forcement murmuré, mais juste informé de médisances à voix basses la reine de la soirée, t'a permis d'entendre - et c'était sans doute voulu de sa part. Tu demeures un instant immobile, quoique stoïque, analysant d'abord la situation.
Qu'elle considère que son fantasme de toi ne soit pas à la hauteur, est une chose ; qu'elle aille fabuler auprès des autres en est une autre.

Mais... comme le jeu est déjà installé, peut-être qu'avoir la réaction de Maav est plus intrigante que celle de réagir par dessus. Tu saurais de toute manière te depêtrer de cette situation au final, sinon l'ignorer.

Un coup d'oeil rapide -et regretté- alors vers ta gauche t'apprend qu'il est ici. Non loin de vous. ......et tu aurais préféré qu'il ne soit présent, à cette soirée.
Avoir un objectif et une obsession dans une même salle, ce n'est jamais une bonne idée.


Resumé : Jessie  capte mister brown, et serait intéressé par le voir. Capte caesar. Et Maav surtout.
Ils discutent, et là Andy pour se venger, se ramène pour cracher sur les perf' fantasmées de Jess. (car elles n'ont jamais eu lieu entre eux) Attention, seulement Maav a entendu, personne d'autre.
a la fin, il calcule adam et là il est peut être un peu contrarié.

— gitano; feat        


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Golden Scare
Cody Blackwood
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Cody Blackwood
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Cody Blackwood
Sam 27 Juil 2024 - 21:48
Ténébrescence


Le sourire que tu lui adresses, Liam, trouble le batteur, qui ne sait si le compliment était déplacé.. ou bien accueilli. Alors il t'observe, préférant s'assurer qu'il ne dépasse jamais les limites.
Et.. tu sembles accepter le compliment, ce qui réjouit intérieurement Cody rêveur devant ta stature et l'aura que tu dégages. Cette main derrière la nuque est-il un signe d'embarras, comme il a lui-même l'habitude de faire lorsqu'il est gêné ? .. l'idée toutefois de posséder un simple petit impact sur toi est impensable, alors il se dit que la soirée et l'environnement sont les responsables de ce geste inhabituel.

Mais plongé dans ses pensées, il se rend compte que tardivement être l'objet de ton regard. Et cela le met dans un état de chamboulement émotionnel où il se perd entre faire comme si de rien n'était, et rougir comme une tomate. Peut-être regardes-tu un défaut sur sa tenue. Même si, au vu de tes propos, tu sembles plutôt examiner réellement ce qu'il porte, et ça ne fait que le braquer dans son trouble compulsif. Bordel ce qu'il aimerait être détendu en ta présence. .. S'il était lui-même, il pourrait même jusqu'à se montrer très tactil.

Le discours du ponte de la maison et le jeu de la famille Beladonne laissent Cody indifférent, bien que respectueux des normes et des usages à respecter en ce genre de soirée. Il a tellement été formaté à l'époque qu'il lui est encore facile de se fondre dans cette masse corrompue. Pour autant, il ne porte aucun jugement négatif à cette famille, préférant juste se concentrer sur le groupe.. ou toi.
Au lever de verre, Cody se jette sur le premier shot d'alcool pour trinquer, un peu dans la précipitation, et enfiler la liqueur d'un rien avant d'en prendre un autre.

- WOW, ça fait du bien ! On peut dire que l'alcool ici est délicat, c'vraiment pas mal !

Au loin, deux jeunes filles semblent agiter leur main en la direction de Cody. Il en arrivait à oublier sa propre notoriété en ta compagnie. Il leur rendit le coucou sans pour autant donner plus qu'elles pensent attendre de lui. Il se reconcentre tout de suite sur toi, et reposs ses lèvres sur le rebord du deuxième verre pour s'abreuver, plus lentement.

- En vrai, c'était sympa de produire pour eux, j'aime bien le changement tant qu'on nous laisse faire ce qu'on veut pour les prochains sons ! J'avoue avoir tenu un rythme assez lent dans ce morceau, mais c'est le game ! ..

Le batteur regarde où se trouve le reste de son groupe et constate l'union d'Icare et Dean entre eux. Comme ils savent maintenant, ils vont certainement le laisser tranquille, à profiter du jardinier.
Il apprécie sincèrement.
L'idée déjà que ta présence puisse balayer si facilement ses insécurités, cela confirme bien le pouvoir que tu as sur lui. Il aimerait tant te détailler du regard, mais le fait est que sans lunettes ce serait beaucoup trop visible et flagrant, il se retrouve juste à replonger le nez dans son verre.

- Après, on peut s'éloigner un peu, et se poser sur les marches de l'escaliers qui donne sur l'espèce d'arrière-cour....
Pensif, il renchérit :
" J'avoue qu'ici... les sujets de discussions sont aussi barbans que superficiels. Et je n'arrive pas à alimenter ça en faisant semblant..."

Hop. Il finit son second verre, déjà prêt à en prendre un troisieme.

— gitano; feat     




résumé : il commence à se bourrer la gueule tout en parlant de la collaboration avec les beladonne. Il est heureux d'être aux côtés de Liam, et comme il n'est pas à l'aise, il propose de s'éloigner avec lui, prêt à dejà debuter son 3em verre.
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Smalt Corun
Maav J. Beladonne
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Maav J. Beladonne
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Maav J. Beladonne
Dim 28 Juil 2024 - 17:19
des frissons bestiaux associés à une apesanteur sirupeuse

le gala





••• année deux mille vingt-cinq / temps présent



C'était une blague ? Parce que Madame est une femme et qu'elle brandit l'étendard de la solidarité féminine, elle pensait que Maav allait la considérer comme une copine ? Elle vient à elle, chuchotant que l'homme d'en face est un mauvais coup. Elle donne un bon side eye pouvant faire fuir n'importe qui puis se met à l'ignorer.

Revenons à nos moutons, Maav maitrisait l'art de prétendre. La sirène arbore son plus joli sourire et son air le plus confiant tout en répondant à ce chez M. Okley.


maav Bien sur que je connais M. Castelli, nous sommes du même sang.


Par le même sang, elle entendait du même groupe. Après tout, n'était-elle pas la baronne des Smalt Corun ? Tous et toutes l'ayant rejointe pouvaient courber l'échine pour elle, pour autant ce n'était pas ainsi qu'elle les traitait. Dans ses petites mains, elle pouvait faire tant de grandes choses. Encore un héritage de son père.


maav Vous cherchez quelqu'un ?


Questionna Maav après avoir remarqué les coups d'œil furtifs de son "nouvel ami". C'est étrange, peu de monde ose regarder autre part quand Maav est là, elle est censée être le centre de ceux qu'elle approche. La couleur parmi la palette de nuance de gris. Elle avait au moins raison sur un point: il était spécial.


© ANARCISS

Résumé:

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Ho bloody
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Apocrypha Graves
Lun 29 Juil 2024 - 23:25
Tenebrescence
Impact
Breaking down, breaking down, breaking down
I don't want to play this part
But I do, all for you
I don't want to make this hard
perfume
I'll never tell, tell on myself but I hope she smells my perfume
La réponse de Dean à tes mises en garde te fait légèrement froncer les sourcils. Ok, il avait pas tord sur l'état dans lequel tu te mettais parfois, mais là c'était différent, c'était un alcool à bulles bon sang, Dean ! T'as oublié que ça monte plus vite à la tête qu'une vodka ou une tequila ou quoi ? Dumbass va ! Tu soupire lourdement en réponse avec un regard qui en disait très long.

En tout cas Icare qui se penche vers Dean pour lui dire un truc dans l'oreille était dans la boite, mais t'aurais bien aimé avoir une bonne ouie pour savoir ce qu'il avait dit pour que Dean ai l'air de paniquer comme ça. Mhhhhhh. Tu as un sourire en coin en regardant les photos que tu avais faites de ce moment et tu hausse les épaule face à Dean qui te regarde avec une question inscrite sur le visage. Eh, t'étais pas encore medium, tu pouvais pas l'aider sur ce que t'avais pas entendu. Qu'il se débrouille un peu avec son crush pas discret là.

Tu te jeta sur les petits fours en observant tes gays favoris, prête à te jeter sur le chemin des personnes voulant potentiellement leur parler. Mais heureusement pour l'instant personne n'avait l'air intéressés par les huluberlus que vous étiez au milieu de cette mascarade des plus désagréable. Du moins c'est ce que tu pensais avant que le daron de Maav ne prenne parole pour réaliser un discours des plus mielleux et dégoulinant de mauvaise foi que tu avais maintenant besoin de boire un verre avant d'avoir envie de vomir à cause de la sensation désagréable d'avoir croisé un sosie de ton géniteur. Sans âme. Yuk. La flute de champagne la plus proche fini dans ton gosier à une vitesse fulgurante. Il avait rapporté l'attention sur vous, mais au moins il restait loin et occupé. C'était très bien, t'avais pas envie de taper la convo avec un vieux serpent pareil.

Tu pose ton regard sur Maav qui traverse la foule. Elle ne devait pas avoir la vie facile avec une famille pareille. Tu compatissais en silence. Et tu baissa les yeux vers un de tes pins "didn't get drunk today". Welp, tu n'avais plus qu'a t'y tenir, sinon tu allais faire de la peine à cette petite étoile sur ta veste. Tu continue de garder un œil sur les autres membres du groupe et tu fais un léger coucou à Cody qui regarde Dean et Icare juste à côté. Le fait qu'il s'enfile deux shots te fais lever les yeux au ciel très fort, mais espérons que Liam gère Cody comme il faut de son côté; sinon, grand géant ou pas, tu irais lui tirer les oreilles, et à Cody aussi d'ailleurs. Être l'adulte responsable de la soirée allait être dur, aaaah. Heureusement, les petits fours sont super bons.

Mh... tu plisse les yeux en regardant la foule pour voir si tu voyais d'autres têtes que tu connaissais, et tu remarqua ton psy dans un coin. Ohlalala, le pauvre, il devait pas apprécier entre le bruit et les parfums. Rip M. Brown.

Résumé:
#70266F Everyone QG Tenebrescence



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i've been trying to get a hold of my ?!@&#%
emotions
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Golden Scare
Icare L. Powell
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Icare L. Powell
Ven 2 Aoû 2024 - 0:28
concert inhabituel

Icare fixe Dean, attentif à ses moindres gestes, il a l’air occupé a boire, a penser a des choses dont Icare ignore encore les sujets. Il penche légèrement la tête en entendant sa réponse.

« Tu as l’air de vraiment vivre ton pire calvaire, et pourtant, je suis là, sourit. »

Léger sourire, il force un peu le trait en regardant les personnes autour d’eux. Heureusement, personne ne semble s’approcher pour le moment.

Et puis il y a le moment du discours et puis, il inspire doucement.

« Baaah on verra bien, l’importance c’est l’argent qu’on va gagner ce soir. »

Il prendra le verre en main, sentira son contenue, boira une première gorgée.
« Une boisson sans alcool, comme prévu, au moins avec ca, je ne finirai pas retourner la table de colère sous le coup de l’alcool. »

Clin d’œil.
Dean sait parfaitement de quoi Icare est capable quand il est alcoolisé. Il inspire doucement en le voyant s’enfiler une énième coupe de champagne.

Approche son visage du sien pour pouvoir murmurer sans être entendu.

« Dis voir, tu en es au combientième verre mon cher ? »

Un peu inquiet tout de même.
Il a bien raison, la fin de soirée risque d’être mouvementé.
---------------
résumé :
- tiens compagnie a Dean mais commence a doucement capter qu'il boit beaucoup là non ??

tenue : www

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Dean Davies
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Dean Davies
Ven 2 Aoû 2024 - 1:43


Tenebrescence  
- EVENT -
Le discours passe, et la discussion se concentre entre toi et Icare, assez éloigné des autres pour parler, bien que tu voyais de temps à autre les coup d’œil dont t’affublais Apocrypha et tu plissas les yeux un bref instant, écoutant ton bassiste.

« Baaah on verra bien, l’importance c’est l’argent qu’on va gagner ce soir. »

« Je suis là seulement pour l’association et l’argent qui sera reversé… pas du tout parce que j’ai peur d’Apo si elle se fâche contre nous », dis-tu avant d’émettre un rire complice à Icare.

Ce dernier prit le verre que tu lui tendis, où il ne risquait pas de s’enivrer, contrairement à toi qui enchainait des verres de champagne comme du petit lait.

« Une boisson sans alcool, comme prévu, au moins avec ca, je ne finirai pas retourner la table de colère sous le coup de l’alcool. »

Tu secoues la tête à son clin d’œil, d’une parce que cet idiot avait un charme fou, et deuxio parce que malgré tout, Icare ivre c’était le pire a gêner de vous tous. Parce qu’autant vous pouviez vous comporter comme des enfants immatures, autant lui, pouvait se comporter comme un beau père ivre devenant violent.

Et ce n’était pas un compliment tu détestait quand il se mettait dans cette état-là. C’était pas bon pour lui déjà, et ensuite il se coulait toujours dans des situations où il finirait par se prendre des gifles, et il n’était pas du genre à gagner un combat. Mais quand il buvait peu, il avait l’alcool joyeux, mais il ne fallait pas en abuser.

Alors que tu termine ta coupe, tu le vois se rapprocher de toi une énième fois et te murmurer :

« Dis voir, tu en es au combientième verre mon cher ? »

Bordel, fallait qu’il arrêtre de s’approcher de toi comme ça vraiment.

« Heu.. je sais pas trois.. quatre ? six ? j’avoue j’ai pas le compte la »
En disant ça tu te frotte les tempes et plisse les yeux vers la lumière, avant de croiser les bras pour t’empêcher de prendre un coupe de plus.

«  J’ai déconné hein ? ça monte à la gueule ls bulles… mais he, faut boire pour supporter ce genre de connerie d’aristo a la con », grogne-tu en faisant la tête, observant le sol. « Tu veux pas foutre une petite raffale de vent dans la piramide de verre la bas ? »

Tu ricanes et tu secours la tête, évidemment que t’y pensais pas vraiment. Vous alliez éviter de gâcher ça.

«   Bon, dès qu’on a l’occasion de partir promet moi qu’on se barre d’ici. Cody est entre de bonne main, et Apo est beaucoup plus dans son élément que nous », murmura-tu, dans l’espoir de pouvoir partir d’ici.

Bien qu’après coup, tu n’étais pas très certain d’être capable d’être seule avec Icare ainsi. Tu déglutis et observa autour de vous, et tu remarquas certaines personnes, dont une nana au loin dans un groupe qui vous regardait et qui fit un petit geste de la main a Icare des qu’il posa ses yeux sur elle.

Tu pris un autre verre en levant les yeux au ciel et but cul sec celui-là également, t’avais pas envie de voir tout le monde essayer de draguer Icare, certainement pas.


—Hakrabi




Résumé:

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Sam 3 Aoû 2024 - 15:13
concert inhabituel
Icare penche légèrement la tête en entendant Dean lui répondre. C’est beaucoup. A sa place il est évident que Icare serait déjà bourré mais heureusement Dean tient mieux l’alcool que lui. Icare cligne un peu des yeux en entendant la suite.
Une rafale de vent ?

Mh.
Amusant.
Mais il ne doit pas se faire trop voir.

Il le fixe.
« Si ca peut t’amuser alors pourquoi pas. Je plains la personne qui sera a côté de ces verres, en plus de se faire éclabousser, elle risque de se faire accuser. »

D’un geste de la main, il déclenche cette petite rafale dirigée vers les verres qui se mette a tomber un a un.
Il aura peut être pas eu toute la pyramide, mais au moins le quart ou la moitié, c’est déjà ca.
« C’est le max que je puisse faire sans me faire trop grillé. »

Petit rire.
Il pose une main sur l’épaule de Dean.
« Non tu n’as pas encore franchi le point de non-retour, tu tiens debout, tu arrives a t’exprimer normalement, je peux pas dire que tu as déconné ok. »

Il hoche la tête.
« Promis on se cassera a la première occasion, tu as raison, Cody est avec son vendeur de plante et Apo… elle … »

Tourne le regard.
« … nous regarde. »

Penche légèrement la tête.
Murmure dans l’oreille de Dean.

« Elle n’a pas l’air de vouloir s’approcher, tu sais si elle a un truc en tête ? »
Cligne des yeux.

Il captera un peu plus tard la fille qui lui fait signe.

« ..ah. »
Serre un peu les dents.
Pas le choix.
Léger signe de main qu’il rend, puis il fera un signe de tête vers Dean l’air de dire : deso je suis occupé.
Détournera le regard.

« Maintenant j’ai surtout plus intérêt a me séparer de toi, sinon celle la va me sauter dessus. »

C’est évident, Dean l’a vu aussi.

---------------
résumé :
- toujours aux côtés de Dean
- fait tomber la moitié d'une pile de verre par un coup de vent hihi
- regarde autour d'eux : capte la fille, rend le geste mais fait comprendre qu'il est occupé
- va donc encore + coller Dean maintenant

tenue : www

event





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Dean Davies
Sam 3 Aoû 2024 - 20:56


Tenebrescence  
- EVENT -
Tu avais proposé à Icare d’utiliser son pouvoir pour la blague, tu ne pensais pas réellement qu’il allait suivre ton idée idiote. Pourtant :

« Si ca peut t’amuser alors pourquoi pas. Je plains la personne qui sera a côté de ces verres, en plus de se faire éclabousser, elle risque de se faire accuser. »

«    nan t’es pas sérieux… », commença tu alors qu’il continua dans sa lancée.

Provoquant une si petite bourrasque qu’elle n’était surement pas perceptible, mais qui avait permis de faire tomber quelques verres.

« C’est le max que je puisse faire sans me faire trop grillé. »

Et tu te retins d’exploser de rire, observant vers la chute de verre comme tout le monde d’un air surpris, il fallait bien jouer le jeu. Mais en même temps, tu n’étais pas désolé le moins du monde. Ils étaient blindés, c’est pas quelques coupes de champagne qui allait les tuer.

Mais une nouvelle attaque surgit, la main d’Icare sur ton épaule et tu déglutit rapidement.

« Non tu n’as pas encore franchi le point de non-retour, tu tiens debout, tu arrives a t’exprimer normalement, je peux pas dire que tu as déconné ok. »

«     Ouais, jusqu’à ce que je sorte dehors et que le chaud froid me fasse regretter d’avoir bu autant  », ricane tu, jetant un léger coup d’œil à la main d’Icare.

T’étais ptet pas bourré, mais t’avais chaud. A savoir si c’était l’alcool ou la présence du bassiste aussi proche de toi. Dans tous les cas, t’étais un peu rouge, et t’esperais que les gens mettent ça sur le dos de l’alcool.

« Promis on se cassera a la première occasion, tu as raison, Cody est avec son vendeur de plante et Apo… elle… nous regarde. »

Tu hausse un sourcil et observe alors Apo, prenant ces photos et vous laissant tous les deux avec Icare. Ce dernier venant chuchoter à ton oreille, ce qui était à deux doigts de te faire perdre tes moyens.

« Elle n’a pas l’air de vouloir s’approcher, tu sais si elle a un truc en tête ? »

Tu te grattas la gorge et t’éloigner d’un pas, c’était minime. Et tu hausses les épaules.

«     Elle veut surement prendre des photos et essayer d’envoyer des signaux à toutes les jolies filles de la salle », réponds-tu en haussant les épaules.

Même si tu savais au fond pourquoi elle gardait ses distances. Parce qu’elle avait vu ce qui se tramait, parce qu’elle t’avais tiré les vers du nez lors de votre session shopping. Et qu’elle voulait que tu tentes le coup avec lui.

Même si ça voulait dire enfreindre la première règle du groupe.

Reste que tu observes l’échange silencieux entre la fan et Icare, qui n’as pas l’air de lui accorder beaucoup d’importance… Mais tout de même,

« Maintenant j’ai surtout plus intérêt a me séparer de toi, sinon celle la va me sauter dessus. »

«     Quoi t’aime pas avoir des gens qui veulent te sauter dessus ? », ricana-tu.

T’avais envie de lui sauter dessus. Tous les jours. De glisser tes mains sur sa peau, de déposer un baiser sur ses lèvres…. Et il avait toujours la fâcheuse tendance d’etre si proche de toi…  

Tu soufflas un bref instant et secoua la tête pour éloigner cette pensée.

«     Je… j’ai besoin d’aller dehors »

En disant ça, tu t’éloigna rapidement et parti de la soirée précipitamment. Essayant d’éviter de bousculer des gens, tu finis dehors et t’accroupis au sol, prenant un grand bol d’air frais en enfonçant ta tête remplie de boucles dans tes bras.

Il fallait que tu te calmes, et l’air t’aidait un peu, mais ça devenait de plus en plus dur de faire semblant, et de garder cette amitié telle quelle avait Icare. Tu voulais plus, mais ça ne pouvait pas se faire.

Dans tous les cas, peut-être devrais-tu lui dire. Sans espérer que ça mene a quelque chose, mais… au moins pour que ton cœur soit libre de ce poids. Et tant pis si tu souffres, au moins tu pourrais passer à autre chose. Persuadé que les sentiments d’Icare n’étaient pas réciproques, et tu restes ainsi accroupi.



Je penses que l'on peut passer en RP a part et quitter l'event hihihi wink



—Hakrabi




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Jessie Okley
Sam 3 Aoû 2024 - 22:32
Tenebrescence


Adam.. tu te plais à le fixer l'espace de quelques secondes avant de le chasser de ton esprit.
Tu t'occuperais de son cas plus tard ; tu ne voulais rater aucune étape pour le faire tien.

Quant à Andy, icelle pensait gagner cette bataille. C'était sans compter l'intelligence de Beladonne. Ou peut-être n'est-ce là que de la jalousie entre filles ?
Tu te plais à analyser cela de près, te nourrissant avec ravissement des comportements anthropologiques comme sociologiques de tes semblables. C'était tout bonnement fascinant. A deux doigts de te caresser les lèvres pour les observer, tu rêvets plutôt le masque de l'acteur ; non celui de l'observateur, ce serait te griller sur place.

Elle te repond enfin sur ce charmant blond dont le sang a été un délice, et tu ne peux t'empêcher de te demander s'il en est de même d'elle... Elle ne cache pas en tout cas leur lien. .. car tu comprends très bien qu'il n'est pas qu'une question de sang dans son intonation.

- Oui, je cherchais quelqu'un mais je viens de la trouver, dis-tu en la regardant droit dans les yeux, léger sourire victorieux aux lèvres. D'un pas, tu tues la distance qui vous sépare et tes cordes vocales vibrent différemment lorsque tu lui dis à voix basse :

- Je me sens épié ces derniers temps. ...
Pas vous ?
... .. N'avez vous pas besoin d'une protection supplémentaire ce soir ?

Elle pouvait interprêter ta phrase comme elle l'entendait.. Mais le regard sur le côté que tu lui lances laisse suggérer que tu n'es pas celui qui la protégera.
Tu es celui qui la dévorera..

résumé : il chauffe maav, il a faim.

— gitano; feat        


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Wilhelmina A. Erickson
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Mer 7 Aoû 2024 - 10:25
( des frissons bestiaux associés à une apensanteur sirupeuse )
Attentive.
Laissant ses yeux vagabonder, retenant la plupart des visages et surtout ceux qu'elle a déjà croisés. Remarque rapidement ce qui se passe avec les membres du groupe, lâcherait presque un soupir de fatigue en voyant comment certains se tournent autour sans aller droit au but.

Ses pieds se mettent en marche au moment où le patriarche prend la parole. Vermeilles qui le fixent, oreilles qui écoutent tous les sons qui les traversent. Aux aguets, prête à notifier la moindre chose qui ne va pas. Et sa tournure de phrase est pour le moins étrange.

Ce soir, j'aimerais vous inviter à une réflexion plus profonde qui aura certainement un impact sur votre personne. Ces réceptions sont le moyen d'aller aux travers de nos différences, de nos groupes d'appartenance. Ici, je ne vois qu'une couleur.
Alors, osez demander, osez débattre et osez sortie de votre zone de confort.


Sourcils qui se froncent.
Les énigmes amènent souvent à une surprise et généralement pas les meilleures. Ou alors c’est juste elle qui ne les supporte pas. Les imprévus, les évènements qui se dévoilent petit à petit à leur insu. Les secrets.

Tout le monde commence à se disperser, elle en fait de même en gardant des yeux l'étoile du patriarche aux cheveux d'émeraude qui se fait aborder par un visage familier. Sans qu'elle ne puisse écouter, elle se demande alors ce qu'il trame ce fameux Jessie au faux sourire.

Et elle s’en va à son tour, reprenant sa marche initiale pour garder en mémoire les pièces accessibles et leur localisation, avoir un aperçu de ce qui garde l'étage avant de revenir doucement vers la place principal de cette soirée, soit le hall où tout le monde se laisse aller aux discussions et aux boissons pour la plupart.

Passe à côté d’une autre tête connue, une autre un peu moins mais qu’elle retient tout de même. Même si elle n’a pas une mémoire infaillible, le fait qu'il y ai surtout des visages familiers l’aide à mieux les conserver en tête.

Ainsi elle reprend une autre flûte de champagne, aussi doré que le liquide qui coule dans ses veines, avant de voir une autre tête familière. Celle qui l’a poussé à venir.

Expression insondable, elle ne le quitte pourtant pas des yeux.

Attendant patiemment qu’il la rejoigne afin qu'elle puisse lui faire part de ce qu'elle sait.




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Wade A. Valden
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Sam 10 Aoû 2024 - 17:38
Des frissons bestiaux
tenebrescence


T'es pas vraiment de ceux qu'on attendait ici ce soir, tu sais. Malgré l'invitation tu restes persuadé que la plupart auraient préféré que tu ne te montres pas, qu'ils avaient été soulagés même en ne te voyant pas à l'ouverture de la soirée. C'est pourquoi t'as le sourire si fier qui s'aggrandit à mesure que d'autres défaillent quand tu passes près d'eux. L'aura naturellement sauvage, tu ne fais que marcher et pourtant tu sens la plupart des regards posés sur toi. Quelques murmures légers ça et là dont tu ne te préoccupes pas, tu files droit à l'encontre de la reine des lieux.

Et ce n'est pas Maav non, pas pour toi.
(pas encore)

J'ose espérer que cet air ennuyé n'est pas de mon fait princesse.

Un baise main léger, t'uses et abuses de tes charmes pour ton seul plaisir avant d'observer ta belle de haut en bas.

Toujours aussi charmante à ce que je vois.

Un sourire, tu la délaisses un instant au profit d'un serveur pour attraper à ton tour une coupe de champagne puis tu viens glisser ta main libre avec délicatesse dans le bas de son dos afin de te placer naturellement sans attirer les soupçons et ainsi pouvoir observer tranquillement les alentours.

J'ai loupé quoi ?

Tu bois une gorgée tout en glissant ton regard un peu partout tandis qu'elle te met au courant des derniers mouvements.
Tu vois votre hôte en pleine conversation un peu plus loin, croise le regard de quelques visages connus ça et là, d'Adam entre autre qui t'arrache un sourire carnassier que tu réfrenes avec peine. Puis tu poursuis ta route jusqu'à te poser sur une distraction que tu ne pensais pas voir ce soir.

William.
Et déjà tu sens une faim vorace poindre le bout de son nez.



Résumé :
- Sa tenue.
- Il arrive en retard (haha) et retrouve sa queen Wilhelmina.
- Sonde les alentours à ses côtés, prends des news sur la soirée et apperçoit ses pions clefs un peu partout.
- Tout allait bien jusqu'à ce qu'il voit William aka son golden food et ça lui donne très très faim tout à coup.

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Wilhelmina A. Erickson
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Sam 10 Aoû 2024 - 20:22
( des frissons bestiaux associés à une apensanteur sirupeuse )
Vermeilles qui te suivent alors que tu avances, elle ne bouge pas d’un pouce quand tu te postes face à elle dans ce costume trop immaculé pour les pensées que tu peux avoir. Loin d’être aussi pur et innocent que le blanc qui orne ton corps, elle se demande alors à quel point il va changer de couleur avant la fin de cette soirée.

Car il serait étonnant qu’il reste aussi splendide tout le long.

« Nullement. J’ai arrêté d’attendre depuis des années maintenant. C’est juste mon expression habituelle. »

La neutralité, celle qui n’exprime rien, qui est difficile à percer.
Même si elle est là à cause de ton invitation à la base, elle pensait finir sa soirée en solitaire.
Elle ne veut pas qu’on l’approche, qu’on puisse profiter de ce qu’elle peut avoir comme émotions ou sentiments, que cela se retourne contre elle comme les impulsifs qui sont aussi lisible qu’un livre ouvert. Et pourtant, tu es l’un des rares à vouloir sa compagnie, à lui parler sans être intimidé et même à jouer avec elle sans que ça n’atteigne le niveau de l’agacement.

Sourcil arqué quand tes lèvres se posent sur sa main, l’autre laissant son verre de champagne se vider doucement tout en laissant ce goût particulier chatouiller son palais.

Avare de contact, c’est bien l’une de choses à laquelle elle ne s’habituera jamais.
Quand ce n’est pas elle qui les engage.

« Merci. J’admet être curieuse quant à ton choix de couleur pour ce soir, je constate que tu n’as pas peur de te salir. »

Cela n’a pourtant rien de nouveau.
Elle pourrait même aller jusqu’à avouer que cela te sied presque.
Mais si ses sourires sont rares, ses compliments le sont encore plus.

Finissant son verre, elle le dépose pour en reprendre un autre en même temps que tu attrapes le tiens. S’apprêtant à en prendre une autre gorgée, elle s’arrête dans son geste en sentant tes doigts dans son dos, réduisant la proximité entre vous et laissant un frisson s’aventurer sur sa peau.

Les contacts, elle ne s’y habituera jamais.
Vraiment pas.

Pourtant elle ne se dégage pas, sachant que c’est pour mieux murmurer à ton oreille sans que personne ne trouve cela étrange. Qui viendrait déranger deux personnes qui ont l’air un peu trop proches pour que ce soit anodin ? Certainement pas quelqu’un qui a un minimum de respect pour l’intimité d’autrui.

Ainsi, elle se laisse faire, ose glisser sa main libre dans le creux de ton épaule en laissant le bout de ses ongles caresser la base de ta nuque. Visage qui se faufile près du tiens, ceux qui ont l’esprit qui dérive pourrait penser qu’elle s’apprête à te chuchoter des choses bien incongrues.

« Les membres du groupe se sont dispersés, leurs histoires de cœurs font de la peine à voir mais ils avancent. Rien de bien spécial de ce côté là, hormis qu’ils ont abusé sur la boisson un peu plus que d’ordinaire. L’étage est interdit au public, il y a… »

Regard qui virevolte sur les têtes autour, elle s’écarte doucement en voyant l’une d’entre elle se diriger vers vous deux.

Et, si tu es attentif, tu peux discerner cette lueur d’agacement dans ses rubis.

« … On reprendra plus tard. »

Oh, si elle doit de nouveau te faire comprendre de ne pas la chercher, elle le fera avec plaisir.
Apparemment tu ne retiens pas les leçons qu’on te donne, même les plus violentes.
N’est-ce pas, Caesar ?





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Sam 10 Aoû 2024 - 22:57
Tenebrescence - EVENT
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Les odeurs et le son tourbillonnaient ensemble, dans un mélange qui devait surement plaire à tous les invités présents ce soir. Mais c’était sans compter William, qui se tenait doucement sur sa canne, une petite mine contrite au visage.

Depuis son accident et la perte de sa vue, les odeurs trop fortes avaient tendance à lui causer un mal de crâne assez impressionnant. Il déglutit, content que Andrew soit avec lui, et il remit correctement ses lunettes sur son nez.

Ils avaient bien évidemment écouté le discours de M. Belladone, mais n’en avaient pas été plus touchés l’un que l’autre.

C’était des faux semblants, rien que cela. Et même un aveugle pouvait s’en rendre compte, il se demandait si beaucoup de gens tombaient dans le panneau, ou si chacun faisait simplement bonne figure.

Un léger sourire apparut sur ses lèvres alors qu’il remuait la tête doucement, ajustant sa cravate et ses manches de costumes.

« Voilà un charmant discours », souffla le psychanalyste avec un sourire en coin à son meilleur ami, les deux notant évidement l’ironie de sa voix.

« Charmant en effet », répondit Andrew, qui ne pouvait dire beaucoup plus, ayant déjà travaillé pour Ténébrescence en tant que photographe pour certaines campagnes de publicité et comme on dit, ne mords pas la main qui te nourris.

William déglutit un instant et soupira, devant bien rester quelques instants pour ne pas avoir l’air d’un goujat. Il avait tout de même demandé a Andrew de lui notifier si Maav regardait dans leur direction pour la saluer si alors, il serait ses yeux a cette soirée.

« Tu veux un verre Willy ? », demanda Andrew, sachant qu’il voulait un tant soit plus longtemps.

« Oui je te remercie Andy. Cela pourrait faire passer le temps », murmura-t-il avec un sourire.

« Okay, j’arrive. Et fait pas trop de bêtise d'ici mon retour », souffla son meilleur ami.

« Des bêtises ? Sans toi il n'y a pas de risques », déclara William.

Andrew serra doucement le bras de William avant de s’éloigner chercher les verres pour les Ho Bloody, contenant un peu de sang dilués, qui n’étaient pas à coté des coupes de champagne, qui venaient d’ailleurs d’avoir eu un petit accident.

William aurait-peut-être préféré passer la soirée à écrire son mémoire, ou la passer avec son ami Felipe, pas de faux semblant, juste eux, et parfois Andrew qui boivent et discutent sans se soucier d’autre chose.

Mais il était ici, et seul, attendant patiemment le retour d’Andrew pour lui tenir compagnie, sans savoir que l’homme qu’il avait aidé dans une ruelle en lui donnant de l’Energie par le passé l’avait repéré.



MALICE


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Sam 10 Aoû 2024 - 23:53
tenebrescence

Caesar il regarde le monde avec intérêt, il est attentif au moindre détail. Le groupe qui fait son show, le discours du maitre des lieux.

Un œil vers une fille aux cheveux flamboyant (Apo) qui semble alpaguer des groupies un peu plus loin, il s’avance de deux pas, croise son regard quelques seconde et comprends que ce n’est pas encore le moment pour lui de venir lui chercher des noises.
Il lui fait un clin d’œil.

Changement de cible.
Son regard se porte sur plusieurs personnes. Un gars pas très a l’aise, lunette de soleil sur le nez, ca fera une bonne cible pour la fin de soirée.
(Désolé mais oui c’est bien William)

Il s’approchera alors de Wilhelmina qui vient de se faire aborder par un autre, un certain Wade de ce qu’il en sait ? Il a un grand sourire. Il sait qu’en public, elle ne pourra pas faire grand-chose, ca le rend radieux.

Il sourit grandement :
« Bien le bonsoir, c’est une belle soirée pour discuter n’est-ce pas ? Vous étiez en train de discuter de quoi ? »

Un œil vers Wilhelmina.
« C’est toujours un plaisir de te voir très chère. »

Toujours aussi souriant.
Il commence a jouer avec ses dés dans ses mains, ca le détresse.
« Quoi de neuf ? Vous avez aimé la musique ? »

------------------
résumé :
- Laisse Maav faire sa vie pour le moment
- Commence a observer le monde
- Pense a aller vers Apo mais se ravise car elle lui lance un regard qui le dissuade #instinctdesurvie
- Un oeil vers William : intéressé
- Il finit par aller vers le duo Wade/ Wilhelmina pour discuter de tout et de rien : joue avec ses propres dés


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Mer 14 Aoû 2024 - 1:33
Des frissons bestiaux
tenebrescence


Elle est gracieuse, Willy.
Dangereuse aussi.

Les meilleures toiles ne sont-elles pas blanches à l'origine ?

Un sourire pour venir étirer tes lippes, tu fanfaronnes mais la vérité n'est pas si éloignée. T'as toujours été du genre à apprécier te salir et la plupart le savent alors ce n'est pas si étonnant de te voir en blanc ce soir finalement.

D'un mouvement léger dans le creux de son dos tu viens la rapprocher de toi pour la laisser te murmurer à l'oreille les informations qu'elle avait su glâner tout en laissant ton regard vagabonder ça et là dans la foule. Quand tu l'apperçois un peu plus loin, pendu au bras d'un type que t'as jamais vu, ton souffle se coupe un instant. Une seconde à peine, le temps de déglutir.

Putain de merde.
Tu t'attendais pas à le voir ici.

Voilà qui risque de contrarier quelques plans.

Quoique.

Hm ?

Ramené à la réalité par le corps de ta reine qui se détache du tien, elle semble étrangement agacée et t'as beau être un gros con t'es certain que t'y es pour rien cette fois. Nan à la place tu braques tes yeux sur le nouveau venu qu'elle semble connaître. Et visiblement pas trop apprécier.

Tu peux comprendre.
Rien qu'à l'entendre parler t'as déjà envie de l'éclater.

C'est qui ce guignol.

Oeillade à Willy.

T'as déjà vu sa tête dans les dossiers d'Idris mais ces derniers sont si nombreux qu'il t'ait impossible d'en retenir toutes les informations.

Et avec tout ça t'as le bide qui te tiraille.
Putain.

T'es pas le genre de mec à réfléchir l'estomac vide Wade. Ah, fait chier.

Je reviens.

À peine glissé à ta belle avant de t'éloigner rapidement, les iris braquées sur ta nourriture désormais délaissée. C'est plus fort que toi ce besoin d'aller vers lui. De vouloir le dévorer et ne rien en laisser.
C'est infernal.

Salut l'aveugle.

Un sourire qu'il peut pas voir, une main sur son avant-bras pour lui indiquer ta position. Un peu brusque mais pas mauvaise, tu fais même l'effort de pas te nourrir direct.



Résumé :
- Sa tenue.
- Il discute avec Willy mais se laisse déconcentrer par William.
- Caesar se pointe et il se demande qui est ce guignol.
- Il cède à son caprice et laisse Willy gérer ses pb.
- Va voir William !!

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Ven 16 Aoû 2024 - 10:24
Tenebrescence - EVENT
FEATURING. le forum

Alors que Andrew n’est pas avec lui, William est beaucoup plus sensible à tout ce qu’il l’entoure.

L’avantage de son meilleur ami est qu’il soit ses yeux quand ils sont ensemble et également L’homme qui lui raconte des ragots sur ce qui se passe autour d’eux.

Mais a peine était-il partit qu’un homme s’approcha de William. Presque comme si cette personne n’attendait que cela.

« Salut l’aveugle »,  dit l’homme, une main sur l’avant bras de William.

Une fois la surprise passée, le psychanalyste plissa les yeux en retirant son bras doucement. Analysant la situation et reconnaissant la voix et le manque de politesse de la personne qu’il avait aidé auparavant. Dont il ne connaissait pourtant pas l’identité

« Très cher ami. Je ne m’attendais pas a vous croiser ici…. La dernière fois il me semble bien avoir dû vous aider car vous étiez en piteux état, vous me semblez en pleine forme aujourd’hui »

En disant ces mots, il espérait que Andrew revienne assez vite. Mais entre le monde la foule, les gens qui pouvaient potentiellement arrêter le photographe renommé qu’il était, cela pouvait prendre de temps.

Il ne voulait pas faire d’esclandres a l’evenement de Maav, mais il n’était pas question que cet homme se nourrisse de nouveau de lui. Du moins sans en demander la permission d’abord.

« Il me semble que nous ne nous étions pas présentés la dernière fois. William Brown enchanté » , dit-il en tendant la main, pour se présenter dans les formes.



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Sam 17 Aoû 2024 - 14:26
des frissons bestiaux associés à une apesanteur sirupeuse

le gala





••• année deux mille vingt-cinq / temps présent



Le diamant de ce soir (elle s'prend pas pour d'la merde celle-là) percevait déjà les barreaux d'un cloitre dans lequel Jessie souhaitait l'enfermer. Tout était félin en lui, son corps, son attitude, ses yeux, sa voix et ses lèvres. La manière dont il ondulait, de manière presque imperceptible, ses mouvements faisait de lui cet animal en chasse. Un prédateur ayant trouvé sa proie, ou du moins l'une d'elle puisque d'autres cibles attendaient leur tour. Maav n'était pas stupide et elle savait qu'il ne servait à rien de tenter d'entourlouper ce géant, elle ne pouvait pas imiter l'art de Caesar.
Tout n'est que paraitre - cette phrase est son art à elle.


jessie Oui, je cherchais quelqu'un mais je viens de la trouver.


Ca, ça n'était guère rassurant. Maav s'était suffisamment renseigné sur lui pour savoir qu'il était très imprévisible mais également calculateur. Ils étaient semblables sur de nombreux points, et elle s'en méfiait.


jessie Je me sens épié ces derniers temps. ...

Pas vous ?
... .. N'avez vous pas besoin d'une protection supplémentaire ce soir ?



maav Hm.


Par pure fierté, il était inconcevable pour Maav de devenir la proie qu'il voulait qu'elle soit. Son esprit se blindait tandis que son corps était attiré par cet odieux personnage. Y avait-il un espoir de s'en faire un allié ? Une chose est sure, elle allait devoir se passer de mot. Ce Jessie semblait être quelqu'un guidé par ses pulsions, Maav allait devoir être stratège et se positionner sur cette fréquence.
Une communication plus primaire.
Alors qu'elle n'avait proféré que deux lettres accompagnés d'un regard détaillant l'homme de haut en bas, elle s'attarda sur ses yeux. Les ancrant dans les siens comme pour faire comprendre qu'elle savait de quoi il parlait.
Lentement, elle se tourne pour lui offrir son dos dénudé dans cette jolie robe jaune. Comme une invitation à la suivre, elle avance ses pieds talonnées parmi la foule en direction de l'escalier pourtant fermé par deux colosses Smalt Corun. Elle leur adresse un regard puis vers Jessie, il s'écarte, la laissant passer elle et le félin.

Elle ouvre une porte sur ce palier, pénètre dans la pièce sans refermer la porte. Car ce n'est pas elle qui allait tourner la poignée, ni même verrouillé le loquet. A partir de maintenant, chaque choix et action de la part de Jessie Okley allait être décisif. Pour lui, comme pour elle.

© ANARCISS

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Dim 18 Aoû 2024 - 21:27
( des frissons bestiaux associés à une apensanteur sirupeuse )
Elle ne bronche pas quand Wade s’éloigne, se doutant qu’il ne reviendrait tout simplement pas contrairement à ce qu’il venait de lui dire. Mais ce n’est pas important, comme elle l’a précisé juste avant, elle a passé l’âge d’être patiente avec les autres. Elle avance, avec ou sans eux. Généralement sans, car elle ne peut compter que sur elle. Non, les autres ne servent à rien hormis être des épreuves, des clous sur lesquels on doit marcher, qui nous font saigner avant qu’on ne les jette pour cicatriser.

Et continuer, toujours.
Aucune remarque ne sort de ses lippes quand le représentant s’éloigne, ne s’ennuyant déjà plus de ses mensonges pour mieux se préparer à ceux du joueur en face d’elle.

« Si tu étais convié à la conversation, peut-être que tu n’aurais pas eu à poser la question. En clair, ça ne te regarde pas. »

Bras croisés, vermeilles qui te toisent.

« Le plaisir n’est pas partagé, Caesar. »

Coupe de champagne qui se porte à ses lèvres, quelques gorgées tombent dans sa gorge avant qu’elle ne reprenne la parole.

« Que viens-tu faire à me parler ? Tu n’as pas quelqu’un d’autre à ennuyer ? »

Tête qui s’incline, rubis qui s’assombrissent.

« Dois-je te rafraîchir la mémoire ou bien tu te souviendras tout seul de ce qu’il s’est passé la dernière que tu m’as fais chier, Caesar ? »

Non, elle ne tourne pas autour du pot.
C’est comme ça qu’elle est Wilhelmina.
Et elle ne changera certainement jamais.




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Mer 21 Aoû 2024 - 14:15
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Alors comme ça il t'a pas oublié. Ça t'arrache un sourire presque heureux et ton humeur se fait bien meilleure tout à coup, c'est que t'aimes qu'on se souvienne de toi Wade. T'aimes marquer les esprits, comme pour dire à ce putain de monde que t'es là ouai t'es pas encore mort et t'es pas prêt de crever.

Nan celui qui te crèvera pour de bon est pas encore né.
Et puis t'as encore des choses à faire ici.

Je récupère vite tu sais.

L'intonation maligne pour souligner l'habitude et la confiance monstrueuse que tu renfermes. C'était pas la première fois, ce sera certainement pas la dernière non plus alors autant relativiser et frimer un peu.

Tranquille tu laisses balader ton regard un moment, passe de Willy aux prises avec ce crétin à ces silhouettes montant des escaliers censés être interdits au public. Maav et ce type dont tu sais encore pas grand chose s'éclipsent tu sais pas vraiment où et alors ton sourire s'étire un peu plus grand. Se fait un peu plus bestial, une seconde à peine -c'est que t'imagines bien une piaule à l'étage, ça t'étonnerait même pas les gens font toujours ça en soirée. Les hôtes surtout. Y en a toujours un pour s'éclipser et aller baiser. Toi tu le fais. Pourquoi pas eux ?

Enfin bref.
Il te tend une main et t'as un instant de perplexité avant de la saisir.

Asterion.

Tu ricannes, ça t'amuses ouai.
Mais c'est pas si faux non plus Asterion.

Tu lâches sa main sans te nourir pour les ranger sagement dans les poches de ton pantalon, conscient que foutre la merde ici serait trop peu fructueux pour tes affaires puis tu reprends sur un ton presque jovial malgré le sérieux de tes propos.

Toi et moi on va avoir un problème, William.

Enfin, plus pour toi que pour lui.
Quoique.





Résumé :
- Sa tenue.
- Il discute avec William
- Comme l'autre est aveugle c'est pas gênant si il regarde ailleurs en même temps
- Observe Wilhelmina avec Caesar puis voit Maav et Jessie monter
- Son cerveau teub imagine une piaule à l'étage bref il se fait des films et ça l'amuse
- Poignée de main avec William sans manger, il sait qu'il faut pas faire le bazar ici
- Donne son second prénom à William mais personne le connait et ça le fait marrer
- Puis il lui annonce qu'ils vont avoir un pb tous les deux voilà

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Jeu 22 Aoû 2024 - 22:10
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« Je récupère vite tu sais. »

Encore ce fameux tutoiement alors que William essayait de rester un minimum poli avec cet énergumène qu’il avait aidé auparavant. Mais il ne pouvait même plus s’offusquer, le psychanalyste en avait conclus que c’est ainsi qu’il parlait aux gens. Sûrement pour se donner de l’importance et ainsi montrer qu’il n’était pas comme tous ceux qui se pliaient à la bien-pensance et au vouvoiement contractuel.

« C’est bien ce qu’il semble. Tant mieux pour vous vu que vous avez l’air d’avoir une fâcheuse manie de vous prendre des coups », répondit-il délicatement.

Un autre cas à psychanalyser très certainement. Mais il s’était refusé de le faire tant qu’il n’était pas payé ou du moins qu’on ne lui demandait pas, pourtant il était sûr que la personne en face de lui devait être un cas très intéressant.

Mais alors qu’il réfléchissait à tout cela, l’homme lui serra enfin la main. William se demandant ainsi si la latence qu’il y avait eu dans sa réponse était lié à un refus préalable de sa part de le saluer de manière convenable au lieu de ses comportements de rustres, ou bien parce qu’il avait le regard ailleurs et ne l’avait donc pas remarqué.

« Asterion. »

Son ricanement n’aura pourtant échappé au psychanalyste, qui se demandait alors à juste titre s’il était très réel dans ce qu’il lui disait. La question méritait effectivement de se poser, au vu des seuls échanges qu’ils avaient eu ensemble.

« Enchanté très cher »

Au moins, il eut la décence de ne pas se nourrir sans son consentement, ce qui étonnait quelque peu William, mais en bien. Cet homme avait peut-être quelques qualités, cachées quelque part. A moins que ce n’était que parce qu’il était cette fois-ci dans un évènement mondain et public.

« Toi et moi on va avoir un problème, William »

Un problème ?

Etait-ce une menace ?

L’homme ajusta son costume en haussant un sourcil, penchant la tête quelque peu vers son interlocuteur. Remettant correctement sa cravate.

« Un problème ? Veuillez donc vous expliquer j’ai bien peur de ne pas bien saisir ce que vous me sous entendez là. Je ne vois aucune raison pour que nous ayons un problème… si l’on met de côté votre côté rustre et grossier », indiqua le psychanalyste, retenant un léger sourire qui apparaissait sur le coin de ses lèvres.

C’était l’avantage à ne pas être en consultation, il pouvait être un peu moins sérieux… mais il aurait tout de même apprécié qu’Andrew revienne vite, car il ne savait pas comment aller se dérouler cette conversation… Mais ce dernier était malheureusement coincé avec quelques personnes hauts placées, qui lui parlaient de son art et ses photographies, le coinçant encore pour un moment, laissant le pauvre William se débrouiller avec cet Asterion.




MALICE


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Ven 23 Aoû 2024 - 16:56
Des frissons bestiaux
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Il ajuste son costume, resserre sa cravate. Un psy penserait que c'est de la surprise, peut-être un soupçon d'assurance envolée. Toi ça t'indique simplement qu'il sait vraiment pas se fringuer, elle est mal mise sa cravate. Tu soupires bruyamment, pas vraiment agacé par ses propos mais un peu ennuyé quand même.

Laisse-moi faire, elle est de travers.

Tu vas rien faire de mal ici de toute façon, si ce n'est droguer le ponch et le champagne éventuellement. Cody et Icare se sont barrés, ça pourrait être marrant. Mais pour l'instant tu te contentes d'être le moins brusque possible quand tu viens réajuster le tissu même si c'est pas encore ça, il doit le sentir.

T'abuse, je fais un effort là. Je t'ai pas encore insulté.

Retire tes mains en souriant avant de les fourrer dans tes poches, c'est vrai que t'es étrangement poli c'est pas habituel pour toi ça. Recule d'un petit pas pour lui laisser un peu d'espace et contempler ton oeuvre. Ce noeud est parfait.

Eh bah voilà, t'es presque présentable maintenant.

Ricannement amusé qui s'échappe quand tu te fous gentiment de sa gueule. La politesse aura pas duré mais il a cherché aussi. Ouai on va dire ça.

Ahem. Bref j'disais qu'on a un problème.

Tu lui cacheras que t'as failli t'étouffer en ricannant hein.

Tu me files la dalle. Genre une vraie dalle.

Autant être honnête, avec un peu de chance ça t'évitera les galères quand tu lui voleras son énergie plus tard. Dans tes poches t'as les poings serrés, probablement autant que tes dents tandis que tu déglutis et tentes de garder contenance.

J'avais pas faim avant de te voir et là j'ai l'impression de crever. T'es médecin nan ? Pourquoi ça m'fait ça.

Non il t'avait rien dit de son métier mais tu t'en fous, t'as seulement besoin de savoir, là.





Résumé :
- Sa tenue.
- Il lui réajuste sa cravate puis il lui expose son problème pensant qu'il vaut mieux être franc vu qu'il sait pas ce qu'il se passe et qu'il aime pas tout à fait ça

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Ho bloody
William Brown
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William Brown
Ven 23 Aoû 2024 - 21:42
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FEATURING. le forum

« Laisse-moi faire, elle est de travers. », dit l’homme en venant réajuster la cravate après William.

Le psychologue plissa les yeux quelque peu, surpris de cette action qu’il ne décortiquait pas bien. Pourquoi faisait-il cela ? Puis il continua de lui répondre

«  T'abuse, je fais un effort là. Je t'ai pas encore insulté. », dit-il avant de terminer de mettre sa cravate droite et qu’il n’éloigne ses mains de lui et qu’il ne le sente s’éloigner quelque peu, ce qui eut le don de calmer quelque peu William.

« Eh bah voilà, t'es presque présentable maintenant. »

« Vraiment un plaisir de discuter avec vous  », ironisa William sans se trouver offusqué de ses attaques enfantines.

Il continuerait de le vouvoyer pour l’instant, bien qu’il notait dans son esprits chaque petite moqueries de l’être en face de lui. Il ne savait pas grand-chose de lui. Un prénom qu’il n’était pas sûr d’être vrai. Le fait qu’il se retrouvait souvent sous des coups ou à en donner, et le fait que au vu de sa chaleur corporelle il était un golden Scare.

« Ahem. Bref j'disais qu'on a un problème. Tu me files la dalle. Genre une vraie dalle »

Ecoutant les mots du Golden,  William termina sa coupe et la posa derrière lui, après avoir tapoté la table doucement. Voilà donc la raison de sa gentillesse, il avait faim. Reposant ton regard vide sur ton interlocuteur, tu l’entends déglutir, ce qui te fais hausser un sourcil.

« J'avais pas faim avant de te voir et là j'ai l'impression de crever. T'es médecin nan ? Pourquoi ça m'fait ça. »

« Je ne suis pas médecin. Vous imaginez vous un médecin urgentiste ou un chirurgien aveugle ? voilà donc une situation bien délicate pour les patients. Je serais radié sans demi-mesure », expliqua le psychanalyste, avec une pensée douce pour son ami Felipe quand il parla de médecin urgentiste.

« Mais pour en revenir à cette soif… Je ne saurais dire le pourquoi du comment…. Votre odeur m’est… commune », souffla-t-il après s’être penché quelque peu, délicatement pour essayer de humer le parfum de son interlocuteur. « Toutefois j’ai déjà entendu parler de cela, de certaines personnes indiquant avoir trouver quelqu’un étant leur nourriture favorite, leur donnant l’eau a la bouche même s’ils sont repus. J’ai écouté certains articles et recherches parlant de cela au cours des années, et c’est un concept de GoldenFood. Je n’avais jamais rencontré personne ni n’ai jamais été sujet à cela… mais les articles démontraient que cette nourriture divine amène un excès de salivation, et notamment une augmentation du rythme cardiaque…. »

Et l’information qui était a prendre avec des pincettes car il n’en n’était vraiment pas sur était que plus on restait aux cotés de notre nourriture divine sans la consommer plus l’on pouvait perdre le contrôle de sois même… ce qui pouvait-être inconvenant.

« Subissez vous ces symptômes ? », demanda-t-il, de manière neutre, bien qu’une inquiétude planait. S’il était sa nourriture favorite à cet Asterion, il n’avait pas envie qu’il eprdre le contrôle, surtout quand il savait qu’il était d’un naturel violent et il ne voulait pas d’esclandres à l’événement de son amie Maav.

Il devrait sûrement le laisser se nourrir…




MALICE


Résumé:

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Smalt Corun
Caesar Castelli
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Ven 30 Aoû 2024 - 17:40
tenebrescence
Wade s’éloigne, Caesar hausse un sourcil. Bon. Le voilà seul avec Wilhelmina. Il penche légèrement la tête, se gratte le crâne, regarde autour d’eux : trop de monde pour qu’elle tente quoique ce soit, alors, il pense pouvoir partir confiant.
« Tu n’es vraiment pas marante Wilhelmina, et puis, souris on est a une fête, je suis sur que tu serai plus ravissante ainsi. »

Lui garde toujours son sourire habituel sur le visage.
Il poursuivra rapidement.
« Très sincèrement, la plupart de ces invités a discuter entre eux, c’est beaucoup plus difficile de s’intégrer tu sais, même si j’ai quand même pu avoir le a chance de me régaler de quelques mets divins. »

Oui, l’avantage avec ce genre de fête c’est que tout le monde porte ses meilleurs bijoux, des mets exquis pour Caesar.
Il roule les yeux.
« Ici on est entouré Wilhelmina je ne pense pas que ce soit très intelligent de faire un esclandre inutile tu ne crois pas ? »

La fixe droit dans les yeux.
Qu’est ce qu’il peut être agaçant.

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résumé :
- Parle avec Wilh


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Maav J. Beladonne
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Maav J. Beladonne
Mar 10 Sep 2024 - 21:56
Bestials chills paired with syrupy weightlessness
Des frissons bestiaux associés à une apesanteur sirupeuse

Une porte s'ouvre

et le regard défaille.

- Elle fit un bruit lourd, à la hauteur du marbre qui la parcourait. Elle revêtait un caractère noble mais aussi glacial, mais personne ne pouvait la voir. Vous alliez devoir emprunter les grands escaliers de droite ou bien de gauche pour monter d'un étage.
Les "vigiles" obstruant les escaliers se poussent pour vous laisser passer, vous voilà guidé.es vers une porte au fond du couloir plus restreint: intéressant. Les portes semblent sortir des murs tant elle vous paraissent immenses pour ce couloir. Une fois à l'intérieur, la pièce est davantage lumineuse comme si le soleil était encore haut, mais il s'agit là des lustres qui vous souhaitent la bienvenue au paradis.

ATTENTION: vous avez le choix d'y pénétrer ou non, mais sachez que la foule va s'y rendre et que vous pourriez louper quelque chose d'intéressant.
ou pas.


- Mais cette porte-ci n'était pas la seule à s'ouvrir, une autre un peu en retrait se manifesta en silence. Laissant une ouverture en demi-passage, on pouvait deviner qu'aucune lumière n'en émanait.

ATTENTION: seulement 1 ou 2 personnes maximum peuvent entrer dans cette dernière porte.


VOUS AVEZ DECIDÉ DE SUIVRE LA FOULE :

Un mélange subtil mais déplacé vous agresse les nasaux: une odeur qui vous est vaguement familière et vous renvoie à l'enfance. Mais où l'avez-vous donc senti ? Est-ce l'odeur d'un premier baiser, de votre première honte, de votre premier échec ou de la mort ? Puis... un haut de coeur vous soulève lorsque vos yeux arrivent sur l'un des nombreux tableaux tenus par des chevalets. Divers écrits, vous concernant vous ou votre entourage sont inscrits, des informations confidentilles telles que vos méfaits en ville: votre excès de vitesse, vos violences sur conjoint, votre récidive en matière de ventes illégales ou encore vos sévices sur mineurs. Oui, les prisonniers de Montréal s'en portent plutôt bien.

Vos yeux cherchent l'un des nombreux tableaux, avides de savoir si vous avez commis de pareilles atrocités. Le trouverez-vous ? A moins que vous n'ayez rien à vous reprocher légalement parlant. Cependant, les mots sont aussi violents que dans la réalité. Votre regard oscillent entre trafic d'enfant, abus de prostitution, danse macabre avec des cadavres et autres horribles choses. Bien vite, le silence est brisé par des exclamations et des plaintes. Comment Tenebrescence, pourtant en haut de l'échelle, pouvait faire ce genre de choses ? ou bien, etait-ce une part du show ?

M. Beladonne apparait de nouveau en frappant dans ses mains tels des applaudissements: retour au calme. Il sourit et semble prendre son pied malgré les regards haineux et confus, il commence:

- Je vous avait bien prévenu d'une soirée sensoriellement enrichissante où il faut oser. Impact n'était pas la seule nouvelle. Vous pouvez constater différents écrits, différents exemples et donc différentes personnes. Savez-vous que nous, les êtres humaines, dégageons différentes odeurs au gré de nos émotions ? Nos bouches communiquent mais nos phéromones le fond davantage.

Tenebrescence, ou plutot les Beladonne, étaient-ils avant-gardistes ou de vils personnages ?
Il marque un temps d'arret pour ancrer ses yeux sur diverses personnes puis poursuit.

- Pour clore cette soirée, je vous invite à vous rapprocher de chaque tableau, ou du moins de certains malgré leurs effroyables caractères. Nous avons sélectionné les pires évidemment. Vous noterez donc une odeur bien différentes, l'odeur de ces méfaits suivront toujours la trace des responsables. Aussi, je suis ravi de vous annoncer notre partenariat avec le laboratoire de l'hopital de Montréal, nous y développerons ces phéromones dans le but d'aider la Police. Des études ont déjà été realisé en ce sens, je vous rassure.
Encore une fois, merci pour votre présence sans laquelle je n'aurai pu aller jusqu'au bout de cette experimentation. Et je vous le rappelle, il ne s'agit là que d'une experience sensorielle. La mission de cette soirée est accomplie: votre odorat, votre vue, votre langue et votre toucher ont été stimulés. Il ne manque que votre ouïe mais je suis certain que vous allez enfin débattre et donc mieux écouter.


Dans un dernier sourire et hochement de tête, l'homme reprend sa place parmi ses collaborateurs. Encore une fois, vous n'allez pas pouvoir l'approcher. Cependant, vous pouvez entendre qu'il semble chercher sa fille.

Quelle était votre pensée ? C'était donc ça, le chef d'entreprise tissait ses toiles pour se placer.
Ou encore, il a un plan machiavelique et veut nous contrôler ou même contrôler la ville.
Mais aussi, ce type est un genie mais j'ai pas trop envie de m'y frotter.

Pour l'heure, une ovation parait être la plus populaire parmi les convives. Les gens se détendent enfin tandis que d'autres reprennent leur masque, pourtant leurs pensées s'agitent.


VOUS AVEZ DECIDÉ DE RESTER DANS LA GRANDE SALLE:

Vous entendez divers gemissements ou plutot plaintes, visiblement les gens n'ont pas l'air contente de ce qu'il y a là-haut. Pourtant la soirée semblait être un succès, il n'est pas trop tard pour monter voir... ou profiter du mouvement pour écouter à certaines portes. Dévaliser les tables remplit de delicieux mets aux couleurs de votre groupe est aussi une belle option.


VOUS AVEZ DECIDÉ DE RENTRER PAR LA PETITE PORTE ENTROUVERTE:

Vous découvrez une pièce assez petite ressemblant à un espace stockage, deux grosses imprimantes sont desactivées. Un papier blanc se trouve sur l'une des vitres à scan. Vous le saisissez et commencez à lire...

Sous les cieux étoilés de la cité vibrante,
un rêveur, caché dans l'ombre dansante,
nourrit des ambitions vastes et secrètes
d'embrasser Montréal dans une étreinte discrète.

Comme un poète cherchant son rime,
il désire capturer la ville.
Chaque rue, chaque pierre, son coeur aspire
à faire de Montréal son empire.

Son désir murmure tel un doux refrain,
dans les ruelles et les jardins.
Esperant qu'un jour, enfin,
la ville tout entière lui appartiendra sans fin.


Vous avez la possibilité d'enquêter ou de brandir cet écrit pour gâcher la soirée. Mais ayez bien en tête tous les éléments et surtout: respectez votre personnage - comment va t-il prendre cette nouvelle ? Ou va t-il penser que ce n'est qu'un poème écrit comme ça ?
Il serait bon de retourner certains écrits des forums, en particulier des rp, si vous êtes motivés. Ou bien vous avez déjà votre petite idée: un suspect en vue ?


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William Brown
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William Brown
Mer 11 Sep 2024 - 16:08
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Mais alors qu’ils étaient en pleine discussion avec le soi-disant Asterion, il se figea en entendant un bruit.

Il plissa les yeux et tourna son visage vers l’origine du bruit, cela étant donc  les escaliers qui menaient à l’étage.  Les mains sur sa canne se serrèrent en essayant d’analyser ce qui se passait, entendant les bruits de foule s’éloigner d’eux et se diriger vers les escaliers.

Aucune annonce, personne n’avait été convié de bouger, William ne comprenait donc pas comme chaque personne de la salle avait pu décider en même temps de quitter la pièce.

« Que… se passe-t-il ? », souffla-t-il, questionnant Asterion. A moins qu’il ne soit parti également,  le laissant ainsi seul. [si tu veux lui voler de l’energie avant de fuir dans la salle hésite pas wadou]

Mais son instinct de préservation le poussait a ne pas bouger. Pas tant que son meilleur ami était de retour, comment aurait-il pu le retrouver après tout. Alors il déglutit et essaya de garder sa respiration mesurée.

Entendant des bruits à l’étage, quelques plaintes de surprise ou de dégoût. Que se passait-il là haut ? Serrant les dents, il se décida à avancer, pour essayer de tirer les choses aux claires, mais soudain une main habituelle se plaça sur son épaule.

« Willy ! », souffla son meilleur ami en se glissant à ses côtés et prenant son bras dans le sien.

« Qu’est ce qui se passe en haut ? »

« Je ne sais pas vraiment, je n’ai pas passé la porte, mais les odeurs étaient… brr.  Mais j’ai entendu le discours de M. Belladone. Ils développent des phéromones, c’est une sorte d’expérimentation sensorielle… mais ils ont des tableaux avec certaines mauvaises actions des gens coincés a Montréal.. .c’est très particulier »

« Hm.. je ne sais pas si Mademoiselle Belladonne était au courant de tout ceci…. » en tout cas si elle l’étais, cela ne le ravissait pas. « J’imagine que tu dois être ravi d’avoir travaillé pour eux… partons, je n’ai pas envie de m’éterniser ici, qui sait ce qu’ils sont prêt a faire d’autre »

« Ouais, en revanche, tu m’explique ce que tu fichais avec Wade genre le Wade ? le chef des Golden ? Il sait pour toi ? »

« Shh.. et que veux tu dire ? c’était lui a mes cotés ? Tiens donc… »

Il plissa les yeux et secoua la tête, voilà qu’il pourrait être inconvenant dans le futur… en tout cas, il garda le bras de son ami et le laissa le guider vers la sortie. L’esprit embrumé de questionnements. La prochaine fois qu’il verrait Maav peut-être lui demanderait-il des explications…

« Tu n’as rien vu comme tableaux au sujet de Felipe n’est-ce pas ? », demanda-t-il en passant la porte, presque inquiet. Mais après tout il avait une confiance aveugle en son ami… réellement.

« Non, mais je n’ai pas bien pu voir. Mais c’est un bon gars, comme nous. T’en fais pas »

Ils quittèrent les lieux et se rendirent à la voiture d’Andrew, afin de débattre de tout cette agitation et façon d’agir de M. Belladonne.



MALICE


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