2025 Qu'il fasse jour ou qu'il fasse nuit, le monde profite des milles activités de la ville blanche, Montreal. Une ville limitrophe, réputée pour être impossible à quitter.Toutefois, peut-elle réellement constituer votre seul monde ? Puis, cette guerre des sangs ne semble vouloir cesser au vu de votre nature. Car vous êtes de ceux que les hommes ont toujours craint : une créature surnaturelle... qui se nourrit des autres.
Notre discord : www. Vous le trouverez aussi en seconde page de PA. Laissez-vous guider en cliquant sur "en savoir plus" ʕ→ᴥ←ʔ
14/04/2024
Ouverture du forum ! Bienvenue chez les timbrés !
Les femmes, les hommes et les non-binaires ne parviennent pas à vivre en harmonie. En effet, trois couleurs de sang régissent la ville. Ces sang, qui depuis des années, ne sont autres que des instruments de discrimination, un pretexte pour chasser au sein de la ville. Vous apprendrez vite à vous méfier des autres, comme de vous-même. Car ici, c'est le pouvoir du sang qui vous dirige. Vous et votre faim...
Profession/Hobbie : Batteur pro & carpette de Wade
Cody Blackwood
Jeu 2 Mai 2024 - 20:10
Suffocating
- Tiens.
[...]
Toute la soirée le batteur a fait la fête. Entouré de ses rares amis, et d'une rimbambelle de fans. Pas les siens, mais ceux de Dean. Un verre, deux verres, trois verres. Le cinquième l'achève après tant de mélanges. Il rentre chez lui en utilisant difficilement son hypervitesse. Tout cela l'a claqué, et il s'écroule à même le lit tout en rêvant d'une étreinte chaleureuse. Dans ces moments-là, entre quelques eaux telles que la fatigue, l'ébriété et ce bien-être diffus, tout pousse le jeune homme à rechercher de l'affection, de la chaleur. Des bras bienveillants et protecteurs. Il se roule sur le coté de son lit en sentant son visage en feu. Et ses mains ont déjà glissé jusqu'au téléphone pour le contacter. Un mouvement du doigt rapide, qui lui indique ses derniers appels. Quatre lettres. C'est forcement d.e.a.n. Peuchère. Lorsqu'il appelle, ce n'est pas Dean qui répond. Mais une voix différente, avec cette intonation latente et grave. Un frisson parcourt son échine et le fait se redresser lorsqu'il comprend avoir appelé la mauvaise personne. Quatre lettres hein ? C'était w.a.d.e.
Il se claque le front face à sa bêtise, mais cela n'en demeure pas moins que Wade reste en ligne. - Excuse moi de t'avoir dérangé jeeu pensais appeler Dean.... Il semble hésiter. Mais en vrai, leuu câlin n'est pas non plus exclus pour toi.
Tout va vite. Wade l'invite à le rejoindre, et Cody ne se fait pas prier pour le retrouver. Le nez et le front en sang, après avoir glissé à son arrivée, à toute berzingue. Le corps ne faisant qu'un avec le sol frappé par la pluie. - Putain, fais chier. Cody se relève, les muscles endoloris, les os refroidis. Il pénètre l'enceinte, guidé ensuite par Idris qui lui propose de se nettoyer, mais accusant aussi un refus poli de la part de son intrépide hôte. Intrépide ou stupide, au choix.
Wade est à l'intérieur d'une pièce en suspension. Après un léger coup à la porte, il pénètre les lieux et sent sa tête tourner. Incapable de se sentir autrement que fracassé par sa soirée, les sens en vrac.
.comme anesthésié.
Une fois sur le coin du canapé, un semblant d'échange prend forme entre les deux hommes. Wade, lui, dans toute sa superbe, au coeur d'un monde sanglant et violent, là où sous ses pieds se déroulent rixes et combats à la sueur des muscles. Cet endroit met le musicien mal à l'aise, quoiqu'il arrive. Il préferera toujours le petit havre de paix de Liam, ce coin de jardinerie où les plantes et les fleurs les embaument tous les deux. Un sourire niais vient cueille ses lèvres. Quand soudain une canette se loge entre ses jambes. Il entrouve les lèvres, sensible à l'attention du représentant. Tout ce qu'il y a de plus dangereux et de dominant, se montre d'un coup bienveillant et attentionné envers lui. Un autre frisson, plus agréable, le prend de cours ; abattu par la fatigue et le désir cuisant d'une embrassade protectrice. Ouais.. pourquoi pas. Wade n'est-il donc pas protecteur ?
Il lui lance un regard troublé. En ouvrant la canette, il ne capte qu'après coup de la présence d'un matériel de soin et là, à ce moment précis, son coeur tambourine dans sa cage thoracique.
Et Cody, il est impulsif. Intuitif. Et très saoul.
Il se redresse en titubant, attrapant au passage le rouleau de gaze plutôt que le désinfectant ce crétin, et se met à genoux à même le canapé, aux côtés de Wade pour lui demander, pétri d'un épuisement réconfortant : - Tu-tu peux m'aider.. s'il te plait, je-... Étourdi, son front se pose contre l'épaule de l'homme et il ferme les yeux.
Un câlin, hein. La vérité c'est que t'as jamais été contre une bonne partie de jambes en l'air, et lui il avait plongé droit dedans. Quel idiot putain, ça t'avait arraché un sourire de plus, tandis que du haut de ta mezzanine, tu l'observais se frayer un chemin à travers la foule hurlant des combats sanglants en contrebas. D'un geste sur ton smartphone déverrouille la porte, d'un clic lui ouvre la porte. Il a le pas hésitant en s'avançant mais toi t'es là, le rubis de tes yeux pour percer le moindre centimètre de sa silhouette, entre pudeur et moquerie, bien installé dans ton canapé.
Un câlin. Il s'assoit sur le bord opposé du canapé, repose sa question et t'y réponds, clairement dédaigneux.
— Ah, laisse tomber y a rien à faire dans ton état.
Tu te redresses. Ce crétin est décidément trop coincé pour faire quoique ce soit.
Le pas souple alors, tu te diriges vers le frigo pour y chopper deux canettes de bière, puis vers ton bureau au fond de la pièce. Rapide, tu fouilles dans la boîte à pharmacie accrochée au mur juste derrière pour attraper du désinfectant, du coton et un préservatif que tu glisses subtilement dans la poche arrière de ton jean. Quand tu retournes au canapé, tu lui lances sa canette et le matériel de soin avant de te laisser tomber nonchalamment sur le sofa, bien plus proche de lui que vous ne l'étiez plus tôt.
— Tiens.
Décapsule ensuite ta canette pour en avaler quelques gorgées, tes iris posées sur lui sans ménagement. Il a pas l'air de bouger, qu'est-ce qu'il fout ce crétin. Nouvelle gorgée. Ah, ça y est.
... Qu'est-ce que.
Tu cilles pas lorsqu'il se met à genoux sur ton canapé mais t'en penses pas moins -et à l'agacement certain qui naît alors vient se glisser comme une lueur d'amusement à sa tête soudain posée contre ton épaule. Ce mec est vraiment trop con.
Un sourire. T'as la dalle putain.
— C'est pas du désinfectant ça.
Souffle alors un soupir faussement dépité, quoique. La bière que tu poses au sol, trop loin de la table basse, pour ensuite te redresser et le faire reculer un peu.
— Hé, Cody.
Tes doigts viennent se glisser sous son menton, l'emprisonnent seulement pour lui faire relever le visage vers toi. Vous êtes proches, trop. Un sourire, c'est bestial.
— N'oublie pas qui je suis.
C'est soufflé à ses lèvres tandis que de ta main libre tu viens essuyer un peu du sang sur sa joue. Et c'est lent, si lent.
Avant que tu ne viennes le basculer pour le surplomber de toute ta hauteur. T'es pas un ange, Wade.
Jamais t'en seras.
Cody Blackwood
Golden Scare
Date d'inscription : 29/04/2024
Points : 58
Messages : 22
Profession/Hobbie : Batteur pro & carpette de Wade
Cody Blackwood
Jeu 2 Mai 2024 - 21:49
Suffocating
Il t'entend remettre en question son choix, et ses doigts touchent plus longtemps la texture de la gaze pour s'apercevoir que c'est effectivement en dernier lieu qu'on l'utilise, bien après la désinfection d'une plaie. Il susurre, d'une voix étouffée par la fatigue, un infime : - Ahh, pardon. Cody est aussi embarrassé qu'un enfant de trois ans, loin de ses possessions cognitives. Il n'a plus conscience de bien des choses, à l'exception peut-être d'un reste d'instinct qui demeure en lui, prêt à le sauver en cas de problèmes. Prêt à le sauver de toi. Pourrait-il cependant fuir la situation par le biais de sa faveur si la situation dérapait ? Pas sûr.
Tu l'appelles. Cody sent tes doigts se glisser jusqu'à son menton et le trouble semble davantage le gagner. Le coeur bat son plein, peut-être parce que ce simple contact est doux, et vient de toi. c'est trop rare. Ses joues sont doucereusement envahies par une chaleur diffuse.
A tes mots, Cody se sent encore plus intimidé, peut-être même effrayé par le sous-entendu. Il ne sait pas quand ou comment il a dépassé les bornes, et il est bien incapable de le savoir ce soir. Cette nuit.
Pulsations en bataille.
L'excitation se mêle à la terreur, devant pareille langueur mortifère, le batteur sous le joug d'une main qui à tout moment peut le brutaliser, le broyer. Cody n'a pas le temps de témoigner de sa crainte puisqu'il est écrasé sous ton poids, et cela le sonne, chasse toute forme de second instinct, pour ne laisser place qu'au désir d'être sous ton emprise. Parce que, oui, tu es un prédateur redoutable, Wade. Et lui n'est qu'une antilope incapable de fuir, aux prises d'une férocité lascive qui ne fait que le pétrir d'un plaisir coupable. Pourquoi ? Il n'en sait rien. Mais il a toujours aimé être en-dessous.
Il se mord les lippes d'abord. Puis, il tend le menton et entrouvres les lèvres pour juste... répondre à son envie. Celle de t'embrasser. Il en a tellement envie, Wade. Car même s'il ne comprend pas l'état de son corps, ta force et ta chaleur sont suffisantes pour charmer tous ses sens.
Le rythme cardiaque qui s'accélère, tu le sens sous tes doigts posés à sa gorge. Tu le vois à ses yeux, à cette manière qu'il a de se laisser faire bien que l'alcool y soit probablement pour beaucoup. Tu pourrais presque le sentir à son odeur, tu sais. Il en crève d'envie ce con. Ça t'arrache un frisson, t'as la chair de poule Wade, quand il se mort la lèvre juste là, en-dessous de toi.
Putain. Cet enfoiré est putain de bandant.
Plus encore lorsqu'il prend les devants et t'embrasse le premier. C'est doux, bien loin d'être sauvage mais tu le sens pourtant, que c'est juste là. Qu'il suffirait simplement de le bousculer un peu pour le faire craquer. Instinctivement alors, ta prise se resserre un peu à sa gorge et tu abaisses tes hanches à la rencontre des siennes en une courbure délicieuse. Une main toujours à sa gorge, l'autre sur l'accoudoir près de son visage, t'as le regard brûlant, Wade.
— Rien qu'un câlin, hein. Mon cul.
Approche tes lèvres à son oreille pour y murmurer, le timbre si grave et latent.
— Va pas m'faire croire que t'es v'nu juste pour ça Cody.
L'esquisse qui s'étire alors, carnassière tandis que ton souffle vient s'échouer contre l'oreille, dans le creux. Une respiration pour une caresse, les doigts à sa gorge alors pour venir glisser lentement. Un genoux que tu poses entre ses cuisses. Longer le torse par-dessus le t-shirt et Frôler Doucement Simplement.
Un sourire, Un souffle, Une caresse à l'entrecuisse, par-dessus le jean.
Cody Blackwood
Golden Scare
Date d'inscription : 29/04/2024
Points : 58
Messages : 22
Profession/Hobbie : Batteur pro & carpette de Wade
Cody Blackwood
Ven 3 Mai 2024 - 0:34
Suffocating
Lorsque tu réponds à son baiser, tu lui cueilles un soupire de bien-être. D'une intensité délicieuse. Comme s'il n'avait attendu que ce moment. Cody n'est pas vraiment un grand queutard. Il est gay, oui, mais il entretient non volontairement l'âme d'un romantique. Alors, l'affection, la chaleur et l'étreinte sont ses faiblesses. Et d'en profiter, là, avec un être pourtant si animal et dangereux, est un met exquis, d'une rareté infinie. Comment peut-il ne pas être séduit par toi...
Pourtant, il y a toujours cette boule dans le creux de sa gorge, de son ventre. La peur d'être dévoré par le loup, de n'être plus de ce monde, en jouant avec le feu. Cody n'a jamais cherché à se brûler, du moins pas de la manière la moins agréable qui soit. Pas celle qui carbonise. Ses pensées l'amènent à enserrer la toile de ton pantalon. Le tissu. Rien que le tissu, pour se rattacher à un pan de réalité, qui saurait peut-être le rassurer ?
Ta main sur sa gorge est une brûlure agréable, comme une marque possessive sur son corps. C'est un gage enchanteur, en ce soir. Et puis, soudain, Cody se sent plus à l'étroit lorsque tu viens plaquer naturellement ton bassin au sien, dans une ondulation sexy. .. le musicien était à dix mille lieux de croire que tu pouvais être aussi insidieux qu'un serpent, instillant ce plaisir ardent.
A tes premiers mots, Cody papillonne des yeux, avec un sourire faussement innocent. A ta deuxième phrase, un frisson vient lui déchirer la nuque. Cette voix.. en a-t-il entendu une plus séduisante encore ? Il pense un instant à un autre homme. Mais il n'en connait pas les secrets, de cet homme, et préfère alors se recentrer sur toi. ... ses yeux sont maintenant mi-clos, mu par le désir d'oublier, de s'oublier dans tes bras. Il se détend et glisse sa main gauche vers ton bras, tes muscles, atout évident de charme lorsqu'il t'a vu pour la première fois. La douce chaleur d'une peau gonflée et à la fois ferme, lui soutire un soupir de complaisance.
Tout cela n'est qu'une douce sonate à ses oreilles. Un chant chaleureux, plein de miel.
Une inspiration -loupée à ses bras venant entourer ta nuque. Un souffle à son oreille. Le frisson est agréable mais, le truc c'est que
T'as besoin de plus, Wade. T'as besoin de plus.
Alors ses soupirs étirent les sourires et la faim te ronge, elle te ronge si fort oh s'il savait. Il s'enfuirait, pas vrai ? Parce que Cody n'est pas comme ça, il est doux lui. Il est tendre, lui. Ou peut-être que-
Peut-être pas tout à fait. Ah...
Merde.
— Hm..
Il est sensible, même par-dessus ses fringues il semble te sentir comme s'il n'y avait rien. Y a rien de tel pour faire grimper ta libido en flèche -pour t'étriquer un peu plus fort, là, juste un peu plus bas. Lèvres taquines qui viennent se poser à sa gorge désormais libérées de tes doigts. T'y déposes un baiser brûlant -mord la chair peut-être un peu brusquement, néanmoins sans violence.
T'as simplement besoin de plus, Wade. De lascivité. D'agressivité.
De soumission.
Redresse la tête, Une inspiration. Puis, à nouveau ses lèvres pour t'embrasser -cherchent la langue, trouvent la ferveur et le début d'une lente agonie.
Ses mains plus bas pour t'arracher un souffle du nez, c'est chaud. Putain.
C'est pas assez.
Et l'arrêt n'est pas brusque, Simplement douloureux.
— Chhhh...
Un souffle et tes doigts qui glissent jusque ses mains affairés à défaire malhabilement la boucle de son pantalon.
— Sois pas si pressé.
Non ne gâche pas tout Cody. Patiente encore un peu.
Ta main libre qui remonte pour se glisser dans son dos, semble attraper quelque chose. Puis t'as un sourire, avant de pousser sur ta main toujours sur l'accoudoir pour te reculer.
Ah...
Même pour toi c'est une torture. Pourtant tu joues comme si ça ne te faisait rien.
Retombe dos contre le canapé avant d'agiter le flacon d'antiseptique d'un air amusé.
— L'antiseptique. Pour tes blessures.
T'es vraiment un enfoiré.
Cody Blackwood
Golden Scare
Date d'inscription : 29/04/2024
Points : 58
Messages : 22
Profession/Hobbie : Batteur pro & carpette de Wade
Cody Blackwood
Ven 3 Mai 2024 - 15:29
Suffocating
Tu l'arrêtes dans son entreprise, et ça a le don de le frustrer, lui qui déjà n'attend que la consommation des sens. Comme des langues de flammes qui consument sa peau à coup de caresses et de délices. Cody a la tête qui tourne, en cet instant. Et ta remarque quant à sa patience est un frein non-désiré. Il est pressé. Il te veut en lui. Il veut que tu l'écrases de tout ton poids, car il sait que cette carcasse musculeuse est un stimulant pour lui. Le simple fait que tu veuilles de lui... alors que vous n'avez rien en commun. sinon votre sang. Ca le fout un peu en transe.
Lorsque tu t'éloignes, Cody semble être pris de court. Interdit un instant, il t'observe l'expression mi-figue, mi-raisin, celle d'un pré-ado à deux doigts de piquer sa crise, mais qui en un claquement de doigt, peut aussi se mettre à genoux devant toi pour juste combler vos désirs respectifs.
Le musicien pose un regard enfievré sur l'antiseptique, qu'il maudit intérieurement. Un bref rire le surprend. Il s'en contrefout. Ce n'est pas la première -ni la dernière fois- qu'il se prend des murs. dans tous les sens du terme, d'ailleurs.
Il s'essuie dans une insolente désinvolture le nez le sang qui a à moitié seché pour le lécher ensuite. Sans te lâcher des yeux, Wade. Car, oui tu es Wade, mais tu ne peux décemment pas l'aguicher et le laisser sur un simple début de faim. Une flamme délicieuse qu'il désire sincèrement nourrir avec toi. Ce soir. Rien que ce soir...
Il ne saurait dire ce qui remonte en lui, en cet instant... est-ce de la colère ? Du mépris ?
Il est déjà démonté par les effets de l'alcool, tu ne voudrais pas qu'il se sente comme une merde, Wade. Si ? C'est ce que tu veux ?
Cody serre les dents et se redresse alors, prenant sur lui pour chasser le manque d'équilibre qui l'assaille depuis déjà quelques heures. D'une main, il plaque une partie de ses cheveux en arrière pour se rafraichir la peau. Ce carcan de cheveux qui encadre ses traits et ne fait qu'alimenter la chaleur autour de son visage, le torture en cet instant, car il a trop chaud.
Aujourd'hui à 5:33 par Apocrypha Graves
» Absence | Caesar & Icare
Hier à 23:33 par Liam Mulligan
» enjoy victory ? nothing like alcohol {feat Dean Davies
Hier à 21:51 par Dean Davies
» un jour j'irai sur la lune ▬ clarence
Hier à 21:42 par Liam Mulligan
» Comment bien commencer la journée... | RP LIBRE
Hier à 21:28 par Liam Mulligan
» The shark in your water [ft. William Brown] [Terminé]
Hier à 17:07 par William Brown
» Elijah ¤ Tell you cat I said pspspsps
Hier à 15:27 par The Opera
» Cast aside, there's no coming home || W.A.R
Hier à 15:22 par Liam Mulligan
» Business is business | Ana
Hier à 15:20 par Liam Mulligan